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Livre « Omerta dans les laboratoires pharmaceutiques »

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Conciliabule
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MessageOMERTA DANS LES LABOS PHARMACEUTIQUES

 (p482469)
Posté le: 28. Jan 2018, 08:05
Merci. Ce message m'a été utile ! ont dit : Mimau, Lucile31
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Bonjour,

Pour information et/ou rappel, Maitre Christophe Lèguevaques a mentionné le livre du docteur Bernard DALBERGUE durant la réunion d'information. Il s'intitule "OMERTA DANS LES LABOS PHARMACEUTIQUES". Il a été édité en format poche en 2015 au prix de 8 euros.

=> https://www.amazon.fr/Omerta-labos-.....eywords=DALBERGUE+BRRNARDLien qui quitte ce forum et ouvre une nouvelle fenêtre

Par ailleurs, je cite :

Le Monde.fr | 04.02.2014 à 08h00 • Mis à jour le 04.02.2014 à 14h20
Par Chloé Hecketsweiler.

"Les pratiques du laboratoire pharmaceutique Merck en accusation

C'est dans l'un des petits bureaux de Flammarion, place de l'Odéon, qu'a lieu la rencontre. Alors que son livre choc, Omerta dans les labos pharmaceutiques : confessions d'un médecin (Flammarion, 300 p., 19 euros), sort mercredi 5 février, Bernard Dalbergue, a l'air d'un homme fatigué après un long chemin. Cheveux gris blond, yeux bleus délavés assortis à sa chemise, il porte encore le costume bleu sombre et la cravate à larges rayures qui fut son uniforme pendant plus de vingt ans au service de l'industrie pharmaceutique.

Employé jusqu'en 2011 par l'américain Merck (MSD en France), ce médecin de 55 ans lève aujourd'hui le voile sur des pratiques inquiétantes : essais cliniques biaisés, effets secondaires dissimulés, experts achetés. Selon lui, le laboratoire a enfreint beaucoup de règles pour faire le succès de ses médicaments.

Actuellement en procès avec MSD, il assure ne pas agir par esprit de vengeance. « Il y a certes beaucoup de médicaments inutiles, voire dangereux, mais globalement ils sauvent des millions de vies », défend Bernard Dalbergue. « La grande majorité des industriels est honnête, mais quelques-uns sont à l'origine de dérapages inacceptables », poursuit-il.

MÉDECINS « ACQUIS » À LA CAUSE

Coécrit avec la journaliste Anne-Laure Barret, Omerta dans les labos donne des exemples précis de médicaments mis sur le marché dans des conditions douteuses, ou bien dont les dangers ont été volontairement occultés par le laboratoire américain.

Le Victrelis, un traitement indiqué dans le traitement de certaines hépatites C, aurait ainsi été lancé avec succès en 2011 grâce au concours de plusieurs médecins « acquis » à la cause du laboratoire, et « infiltrés » dans les instances chargées de statuer sur son autorisation de mise sur le marché (AMM).

Sans citer leurs noms, Bernard Dalbergue précise que Merck a rémunéré à plusieurs reprises ces leaders d'opinion – comme on les appelle dans le jargon – pour des missions liées au lancement du Victrelis alors que l'agence française du médicament (l'Afssaps à l'époque, l'ANSM aujourd'hui) et son équivalent européen les avaient choisis comme experts pour évaluer ce médicament.

Pourquoi prendre autant de risques ? « Pour bousculer le calendrier et coiffer la concurrence sur la ligne de départ », répond Bernard Dalbergue. A l'époque, les dirigeants français de Merck n'ont qu'une crainte, explique-t-il : se faire doubler par l'Incivo du laboratoire Janssen (filiale pharmaceutique de l'américain Johnson & Johnson), qui vient de déposer son dossier d'AMM. Ils comptent donc sur leurs experts « préférés » pour accélérer la validation de leur demande.

« HABITUDE A ÉTÉ PRISE D'ENFUMER LES AUTORITÉS DE SANTÉ »

Contacté, MSD, explique prudemment que les médecins sont les seuls responsables des liens d'intérêts qu'ils déclarent aux agences. « Ce n'est pas nous qui choisissons les experts », souligne un porte-parole avant de reconnaître les limites du système.

« Les mieux placés pour parler du médicament sont les médecins qui ont suivi les patients lors des essais cliniques. Il est peut-être difficile pour les agences de trouver des spécialistes qui n'ont pas de liens avec les laboratoires concernés. » Une déclaration qui fait écho à l'adage maintes fois entendu dans cet univers : « Un expert sans conflit d'intérêt est un expert sans intérêt. »

Pour expliquer ces difficultés de recrutement, Bernard Dalbergue avance de son côté des arguments plus terre à terre « Il y a beaucoup de coups à prendre et pas grand-chose à gagner : des nuits blanches à éplucher des centaines de pages, un boulot titanesque avec beaucoup de paperasse pour environ 500 euros ! (...) Voilà pourquoi la majorité des pontes préfèrent désormais l'argent des labos aux honneurs. »

En 2011, Bernard Dalbergue ne tombe sans doute pas de sa chaise en découvrant le pot au rose, puisqu'il connaît de longue date ces experts et les usages du secteur. Mais le Victrelis est pour lui la couleuvre de trop à avaler, le symbole d'une industrie décidément bien malade.

« Habitude a été prise d'enfumer les autorités de santé. Mais le lancement de notre nouveau médicament frôle la démesure, écrit Bernard Dalbergue. Durant toute ma carrière, jamais je n'avais été le témoin de telles liaisons dangereuses entre des toubibs et une entreprise privée. »

Si elles sont avérées, ces infractions pourraient coûter cher au laboratoire, y compris dans son pays d'origine, où les législateurs ne plaisantent pas avec les conflits d'intérêt. Le puissant Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) leur permet de sanctionner, souvent lourdement, des entreprises américaines suspectées de corruption, quel que soit le pays où les faits ont eu lieu.

250 RÉCLAMATIONS DISSIMULÉES

Ironie du sort : au moment même où la direction française de Merck s'empêtre dans ses contradictions, la maison mère du laboratoire déploie dans le monde entier un logiciel supposé l'alerter sur le moindre conflit d'intérêt potentiel.

Deux autres « affaires » relatées dans l'ouvrage posent une question plus grave : certains laboratoires sont-ils prêts à sacrifier certains patients sur l'autel du business ? Pour Bernard Dalbergue cela ne fait aucun doute. La preuve ? Ce stylo injecteur lancé par Merck pour administrer un traitement contre l'hépatite C.Commercialisé en 2002, il n'a été retiré du marché qu'en 2013 alors que le laboratoire a été alerté dès son lancement de ses dysfonctionnements.

Entre-temps, dix ans de « com » bien orchestrée préservent bon an mal an les ventes de son blockbuster avec un argument imparable : ce n'est pas le stylo qui pose problème mais les patients qui ne savent pas s'en servir. Quoi qu'il en soit, sans le savoir, une partie d'entre eux n'a régulièrement pas reçu le dosage adéquat du médicament.

Avec quelles conséquences ? « Difficile de le dire, puisque les incidents étaient très peu reportés », regrette Bernard Dalbergue qui, avec le recul, se demande comment il a pu cautionner et couvrir cela pendant dix ans.

Il cite un chiffre inquiétant : Merck, dit-il, a admis lors d'une réunion à l'agence du médicament avoir dissimulé 250 réclamations. Selon lui, la pharmacovigilance est « une vraie passoire » : ni les médecins, ni les laboratoires ne signalent correctement les problèmes qu'ils constatent. « Seuls 1% des cas apparaissent dans le radar, donc quand on voit apparaître un ou deux morts, il est vraiment temps de s'inquiéter. »

« REGARDER DANS LA BASE DE DONNÉES DE L'ASSURANCE MALADIE »

L'enquête complémentaire menée par Anne-Laure Barret, revient de son côté sur l'affaire du Vioxx, un anti-inflammatoire lancé par Merck au tournant des années 2000 et brusquement retiré du marché en 2004. Pourtant soupçonné d'avoir causé 20 000 à 40 000 morts prématurées aux Etats-Unis, il n'a curieusement pas fait l'objet d'investigations poussées de ce côté de l'Atlantique, constate la journaliste.

Pis, son successeur, un anti-inflammatoire de la même famille, a obtenu une AMM en 2008 malgré de sérieux doutes sur son efficacité et des données très préoccupantes quant à ses effets secondaires. « Ce traitement, prescrit à 50 0000 personnes en 2011 est-il, comme son cousin, un produit dangereux ? », interroge la journaliste.

Elle rassemble en tout cas des éléments troublants : le rapport d'un épidémiologiste américain soulignant les biais des essais cliniques, le rapport mitigé de la Haute Autorité de Santé, l'instance qui note les médicaments, ou encore la volte-face de l'Agence du médicament qui rédige des conclusions pour le moins contradictoires avance de donner son feu vert.

« Pour savoir si ce médicament tue, il suffirait aux autorités d'aller regarder dans la gigantesque base de données de l'Assurance maladie. On y trouve toutes les prescriptions. En les analysant et en les recoupant avec d'autres sources, sur les décès ou les hospitalisations, on pourrait facilement repérer les effets secondaires des médicaments en vie réelle », souligne Bernard Dalbergue.

Ces informations ont été exhumées dans l'affaire Mediator, mais depuis, aucun suivi systématique n'a été mis en place. « Personne n'y a intérêt, c'est explosif », juge-t-il.

« EMBRIGADEMENT QUASIMENT SECTAIRE »

Au-delà de ces affaires emblématiques, qui finiront peut-être un jour sur le bureau d'un juge, le médecin met aussi en lumière des pratiques qui, sans être illégales, interpellent. C'est le cas des techniques de marketing employées par les laboratoires, parfois à la limite de la manipulation.

Bernard Dalbergue les connaît par cœur, pour avoir lui-même participé à ces séminaires de formation intensifs organisés dans des hôtels luxueux aux quatre coins du monde. Il raconte l'« embrigadement quasiment sectaire » des visiteurs médicaux chargés de « vendre » les médicaments dans les cabinets et les hôpitaux.

Une armée dont le discours parfaitement formaté conquiert d'autant plus facilement qu'il est difficile, voire impossible, pour les médecins de relativiser ou interroger les informations qui leur sont communiquées. « Les études cliniques – quand elles sont publiées – sont bien trop complexes à décrypter, avec des biais savamment dissimulés. Même les experts s'y perdent ! Dans ce domaine, nous sommes aux mains des laboratoires », estime Bernard Dalbergue.

Une dépendance savamment orchestrée, dont il livre les secrets. Comment obtenir ses entrées à l'hôpital, quels arguments employer pour inciter un médecin à prescrire le médicament maison même s'il est notoirement moins bon que celui du concurrent, que lui faire miroiter comme contrepartie s'il accepte de cautionner un essai…? Voilà toutes les ficelles maîtrisées par un bon visiteur médical. On est très loin de la science et du progrès."


=> http://mobile.lemonde.fr/economie/a.....ratoire_4359560_3234.htmlLien qui quitte ce forum et ouvre une nouvelle fenêtre

Bon Dimanche.

C. Kleeblatt

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Jean-Joseph Lattuada
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Heliotropehors ligne
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 (p482474)
Posté le: 28. Jan 2018, 08:33
Merci. Ce message m'a été utile ! dit : Maya6129
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Merci beaucoup Conciliabule, c'est plus qu'intéressant !!!!
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wynniehors ligne
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 (p482475)
Posté le: 28. Jan 2018, 08:53
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Bonjour
Pour la énième fois il faut rappeler qu'il s'agit de Merck USA qui n'a aucun rapport avec le lévothyrox!

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Wynnie

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Conciliabule
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 (p482487)
Posté le: 28. Jan 2018, 11:02
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Bonjour Wynnie,

La confusion n'est pas possible une fois le 2ème paragraphe entamé.

Par ailleurs, il ne s'agit pas de pratiques propre à Merck (USA). L'affaire du Lévothyrox nouvelle formule Merck (France) est un exemple parmi d'autres sur toutes ces dérives dont nous sommes les victimes. Ce n'est pas l'effet du hasard si Maître Christophe Lèguevaques en a parlé lors de cette réunion d'information. Hors sujet ? Shocked Rolling Eyes

C. Kleeblatt

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Jean-Joseph Lattuada
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Beatehors ligne
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 (p482496)
Posté le: 28. Jan 2018, 12:05
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Conciliabule,

OUI, là où tu avais mis ton message, c'était en effet "hors sujet" !!

Car tu as mis ton message "Omerta sur les laboratoires pharma" dans une discussion qui parle tout spécialement de notre référé-expertise "VST contre Merck (Europe)" ... donc, un article qui parle des pratiques de Merck USA (et les gens ne lisent pas forcément tout, dans d'aussi longs messages, souvent ils survolent !) pouvait induire en erreur (et la situation est déjà suffisamment compliquée comme ça, pas la peine d'en rajouter !!)

Le livre est intéressant, oui ! Nous en avons déjà plusieurs fois parlé sur le forum ! Mais il n'avait pas sa place dans cette discussion-là, c'est pourquoi nous l'avons décroché !

Et si tu as écouté toute la video, tu as dû remarquer que Me Lèguevaques a bien mentionné que ça ne concernait pas "notre" Merck ... s'il a mentionné ce livre, ce n'était pas pour ce que cela dit sur les pratiques d'un laboratoire particulier (ici Merck USA), mais sur les conflits d'intérêt entre médecins et autorités et les laboratoires en général.

Donc, lien intéressant, mais qui n'était pas au bon endroit (la discussion est déjà suffisamment longue comme ça, pas la peine de l'alourdir avec des liens qui n'ont pas de rapport direct, elle sert uniquement à parler de notre procédure de référé-expertise).

Merci d'y faire attention, pour nous faciliter le travail et garder un minimum de clarté au forum (dont on nous dit souvent qu'il est trop "fouillis", à nous, tous, de veiller à le rendre aussi lisible que possible).

Beate
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Conciliabule
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Message"QUAND L'ARGENT PARLE, LA VERITE SE TAIT."

 
Posté le: 28. Jan 2018, 20:30
Répondre en citant

Beate a écrit:

Le livre est intéressant, oui ! Nous en avons déjà plusieurs fois parlé sur le forum ! Mais il n'avait pas sa place dans cette discussion-là, c'est pourquoi nous l'avons décroché !

Et si tu as écouté toute la video, tu as dû remarquer que Me Lèguevaques a bien mentionné que ça ne concernait pas "notre" Merck ... s'il a mentionné ce livre, ce n'était pas pour ce que cela dit sur les pratiques d'un laboratoire particulier (ici Merck USA), mais sur les conflits d'intérêt entre médecins et autorités et les laboratoires en général.

Beate


Bonsoir Beate,

Concernant Maître Lèguevaques et l'évocation au travers de l'exemple de Merck USA sur, je te cite "les conflits d'intérêts entre médecins et autorités et les laboratoires en général", c'est aussi le sens donné à mon dernier message. "EN GENERAL" OUI, rien de plus. Et si confusion il pouvait y avoir, le 2ème paragraphe ne laissait aucun doute.

Je ne cherche pas à créer de confusion entre Merck USA et Merck Allemagne. Si j'avais voulu le faire j'aurais mis en titre " MERCK : OMERTA SUR LE(S)LABORATOIRE(S)".

Quant au propos relevés sur Le Monde.fr, je les cite afin de donner un aperçu du contenu du livre. Vous êtes tellement prompte à me "tomber dessus" que vous finissez par vous égarer quelque peu me concernant.

Par ailleurs, j'attirais également l'attention sur le fait que le livre avait été édité en format poche donc moins coûteux et plus accessible que les éditions FLAMMARION, soit 8 euros contre un peu plus de 19 euros.

Enfin, concernant l'écriture du titre que VST s'est empressé de rectifier, je n'ai fait que reprendre ledit titre figurant en MAJUSCULES sur la couverture. Quant au fait que le livre ait déjà fait l'objet de posts sur VST, et bien considère que je m'adresse aux nouveaux inscrits sur le forum, ou bien à ceux de passage ou bien encore à ceux qui comme moi ne lisent pas tout ce qui est publié sur le forum et qui peuvent, de ce fait, passer à côté de ce genre d'information qui a son importance dans la crise que nous vivons actuellement.

Cela dit, au vu des informations que Merck Allemagne, l'ANSM, et les Hautes Instances Sanitaires se refusent à nous communiquer, alors même que l'on est en droit de les réclamer, d'en disposer, amenant VST à les assigner en justice pour les contraindre à nous les fournir, en dit long sur leurs pratiques obscures. Pas sure que nous sachions un jour tous les enjeux finianciers et autres de cette affaire pour lesquels nous payons de notre santé.

Car, je cite : "QUAND L'ARGENT PARLE, LA VERITE SE TAIT". Youssoupha

Bonne soirée à Tous.

C. Kleeblatt

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Jean-Joseph Lattuada
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Beatehors ligne
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 (p482598)
Posté le: 29. Jan 2018, 00:13
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Bonsoir,

personne ne voulait "te tomber dessus" !

C'est juste que 1) nous avons déjà tellement souvent dû répéter que Merck n'est pas égal Merck qu'à force, nous sommes un peu lassés ...

Et que 2), justement à cause de ce risque de confusion entre les Merck, ton message n'était pas à sa place dans la discussion "référé-expertise contre Merck", qui est très spécifique ... un message aussi long, parlant des "généralités" des relations autorités/laboratoires, n'y apportait rien et gênait la lisibilité des échanges. Tu aurais d'emblée dû le publier tout seul, cela aurait été plus simple et mieux adapté.

Pas la peine de te sentir agressée, essaie de comprendre que nous essayons juste, dans le grand bazar ambiant que nous vivons depuis maintenant plusieurs mois, de garder un minimum de lisibilité !

Bonne soirée !

Beate
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